Témoignages

Romain

A la suite de mon DUT Science et Génie des Matériaux, je ne souhaitais pas entrer directement en école d’ingénieur, malgré la possibilité, pour plusieurs raisons : je voulais acquérir ce qu’il me manquait pour pleinement intégrer les démarches scientifiques qu’offre la classe préparatoire ATS, et pour pouvoir également avoir de meilleurs choix d’écoles que je n’aurai pu avoir après mon DUT. Et j’avais raison ! Maintenant que j’ai réussi à intégrer Grenoble INP Phelma qui était mon objectif numéro un en arrivant en prépa ATS, je me rends compte que mes connaissances acquises en ATS ainsi que les manières de travailler et les démarches apprises me sont absolument essentielles en école d’ingénieur. Sans cela, je peux être sûr que Phelma aurait été beaucoup trop dure et non adaptée pour que je puisse y rester seulement avec mon DUT.

La prépa ATS est une formation pour moi de prédilection pour quiconque souhaitant intégrer une école d’ingénieur, encore plus si celle-ci est très reconnue car le niveau est aligné avec les prépas post-bac, et les enseignements censés être maitrisés en arrivant à l’école ne le sont malheureusement pas après un DUT.

Essayez de venir avec un objectif en tête et n’oubliez jamais ce pourquoi vous êtes venus. N’ayez pas peur de vouloir une très bonne école d’ingénieur, la prépa ATS est faite pour vous donner les clés nécessaires, et elle le fait très bien ! Certes, il y a de la difficulté et l’année est intense, mais vous serez tellement fier de vous à la fin que tout ce que vous aurez accompli vaudra largement les efforts que vous aurez fourni durant cette partie de vos études. »

Thibaut

Après des études dans la sécurité des biens et des personnes en DUT et en LP HSE, je n’étais pas satisfait de ma situation. J’ai donc décidé de me réorienter dans le domaine de l’ingénierie au travers de la prépa ATS et j’ai été accepté à Avignon malgré mon faible bagage scientifique.

D’abord anxieux du retard que j’avais par rapport à certains autres étudiants de ma promotion, j’ai rapidement récupéré le niveau de mes camarades en travaillant d’arrache-pied. Le rythme des cours s’intensifie au fil de l’année ce qui permet de combler ses lacunes en début d’année et d’arriver prêt pour les concours en fin d’année.

A la suite de cette dernière, j’ai intégré l’École Centrale de Nantes dans une formation d’ingénieur généraliste en initial et je m’y épanouis réellement.

A mes yeux, l’année d’ATS est une année qui vaut la peine à condition de savoir pourquoi on y entre. C’est une année intense et parfois difficile qui demande de faire des efforts, mais c’est surtout une année stimulante dont on garde beaucoup de très bons souvenirs. »

Téo

Issu d’un bac pro puis BTS maintenance des véhicules, mes connaissances techniques et scientifiques ne me convenaient pas, je voulais donc en apprendre davantage. Lorsqu’on m’a parlé de l’année de préparation ATS, cela m’a beaucoup intéressé et j’ai effectué les manœuvres nécessaires (travail impliqué en BTS, même en anglais, mise en place de stratégies pour être efficace en prépa…) afin de réussir au mieux cette année qui allait être un tournant dans ma scolarité.

Mon but final étant d’accéder à un parcours dans la recherche en physique plus théorique, la seule école me permettant de pouvoir y prétendre était CentraleSupélec, qui recrute sur titre avec un concours spécifique. J’ai donc encore une fois mis tous les moyens en œuvre pour réussir ce concours et j’ai finalement été admis.

L’année de préparation est très dense et très difficile aussi bien au niveau scolaire qu’au niveau mental et physique, néanmoins c’est une très belle expérience et les souvenirs gardés sont exquis. Lorsqu’on y est le temps paraît être figé mais lorsque c’est fini cela parait n’avoir été qu’un bref instant. Mon avis est donc qu’il faut tout donner cette année-là car c’est la plus décisive aussi bien à court qu’à long terme.« 

Lucas

Après mon Bac STI2D, je me suis inscrit en BTS Moteurs à Combustion Interne, un BTS peu répandu qui offre donc de nombreux débouchés, j’avais ainsi plusieurs propositions d’embauche dès l’obtention de ce diplôme. Toutefois j’ai fait le choix d’une prépa ATS afin d’augmenter mon niveau et de rentrer en école d’ingénieurs, et tout particulièrement à l’ISAT, l’institut supérieur de l’automobile et des transports, école publique française spécialisée dans l’automobile et les transports qui forme de futurs ingénieurs automobiles, aéronautique ….

Je suis extrêmement heureux d’être à l’ISAT en apprentissage, je suis en apprentissage chez Renault au centre technique de Lardy en dépollution diesel. Mes cours se passent vraiment bien.

La classe préparatoire est la meilleure chose qui me soit arrivé, j’ai appris à travailler tout simplement ! Je me suis rendu compte qu’avant la classe prépa, je n’avais jamais vraiment travaillé mes cours et je pense sincèrement que sans la prépa, je n’aurais pas pu rester à l’ISAT.

Je suis en train de réaliser mon rêve et je remercie vraiment la classe préparatoire, et tous les professeurs qui encadrent la classe préparatoire. »

Florian

Le meilleur choix que j’ai pu faire !
Tout d’abord, j’ai commencé par un BTS en Maintenance des Systèmes. Au terme de celui-ci, j’ai choisi de poursuivre par une classe préparatoire ATS, pour acquérir les connaissances théoriques requises pour intégrer une école d’ingénieur. Pour ce qui est de mon expérience en ATS, je tiens d’abord à préciser que je n’étais pas un grand travailleur dans l’âme avant celle-ci. Le premier mois a été difficile, surprenant par la charge de travail, mais je me suis vite rendu compte que c’était loin d’être insurmontable : avec un travail régulier et du sérieux, on rentre dans une habitude, et finalement l’année passe extrêmement vite ! Il y a bien sûr eu des moments de doute, mais à la fin le travail paie toujours.
J’ai donc pu intégrer Arts et Métiers Paristech à Aix-en-Provence, en filière généraliste, par la voie du concours ATS. Ayant validé mon premier semestre, l’ATS est donc une remise à niveau très efficace !
Si vous avez les capacités et surtout une réelle motivation, n’hésitez surtout pas. Un an passe très vite, et en un an vous gagnerez énormément, notamment la chance d’intégrer une école d’ingénieur en ayant des bases solides.
Bon courage ! »

Thibault

 

Intense mais efficace ! C’est ma description de la classe ATS d’Avignon. Voici mon parcours : Après un bac STI2D, j’ai étudié le génie mécanique et productique à l’IUT. Cependant  au cours de ces deux années de formation le niveau théorique reste assez faible. C’est pourquoi j’ai décidé d’intégrer la classe préparatoire ATS d’Avignon afin de tripler mes connaissances dans le domaine de  l’ingénierie. Grâce à cette année de remise à niveau j’ai eu la chance de rentrer à l’ICAM de Toulouse en alternance chez ThalesAleniaSpace. Avec les bases solides de l’ATS j’ai réussi les examens des premiers semestres avec succès. L’école m’offre l’opportunité de partir en stage à l’international dès la première année. Dans mon cas ce sera l’Angleterre ! La classe préparatoire ATS d’Avignon fut un déclenchement. »

Julien

 

Je m’appelle Julien, j’ai 23 ans, je suis actuellement apprenti ingénieur à l’ei.cesi Lyon et j’effectue ma mission d’apprentissage en tant qu’assistant chef de projet chez EDF.Tout d’abord, j’ai intégré la prépa ATS du lycée Philippe de Girard en sortie de BTS Après-Vente Automobile. Ayant débuté mes études par un BAC Professionnel, l’ATS a été pour moi un réel challenge.Ce que j’ai retenu de cette expérience : très difficile ! Pas seulement par le niveau des cours, qui n’a rien à voir avec celui du BTS, mais surtout par la quantité de travail à fournir. Effectivement, entre les « khôlles », les interros et les 10 pages à gratter par cours il va vous falloir une bonne organisation de travail pour tenir le rythme et c’est là tout l’intérêt de l’ATS. Vous n’aurez pas d’autre choix que d’acquérir de la rigueur, de l’organisation et de l’endurance sur le bureau pour espérer obtenir une moyenne qui ne vous semblera pas cher payée pour le travail fourni.En contrepartie, si vous êtes prêts ou prêtes à mettre de côté votre vie sociale pendant quelques mois, l’année d’ATS étant courte, ou à bloquer devant un tableau blanc en « khôlle » ou encore à passer vos soirées à faire des fiches de révisions, vous allez découvrir la joie de voir votre dur labeur récompensé par les avis favorables des écoles d’ingénieur ! Evidemment il y aurait beaucoup de conseils à donner pour réussir l’année de prépa mais un en particulier est à ne pas perdre de vue : d’autres avant vous ont réussi alors ne vous sous estimez pas et tentez votre chance car il n’y a que du plus à gagner.Personnellement j’ai tenté l’expérience et je suis aujourd’hui à Lyon, apprenti ingénieur à l’ei.cesi, en poste chez EDF au sein de l’Unité de Formation Production et Ingénierie qui conçoit, développe et met en œuvre des dispositifs de professionnalisation adaptés pour l’ensemble des métiers techniques de la Production et de l’Ingénierie afin de participer au projet EPR, nouvelle génération de réacteur à fission nucléaire. »